mercredi 25 mai 2016

Que savons-nous du Saint Graal?

 La Quête du Graal


Un mystérieux ermite breton

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Quand, dans notre présente culture ou civilisation, la Notion de "Graal" - ainsi que nous la comprenons lorsqu'il est question du Saint Graal - est-elle apparue la première fois? Il semble que la première fois, depuis la Venue du Christ, ce soit à travers un mystérieux ermite breton...

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Pourquoi mystérieux? Peut-être parce que nous ne savons pas grand chose sur lui. Déjà lui-même semble n'avoir rien écrit.

Hélinand de Froidmont – Moine

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L’écrivain Franz Baumer explique:
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«À cette époque (717-719) un ange offrit à un ermite breton la merveilleuse vision d’un visage, celui du noble décurion Joseph, qui détacha le corps du Christ de sa croix, mais aussi celle d’un "plat" dans lequel le Seigneur partagea son dernier Repas avec ses Disciples.»
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Un "Joseph" qui détacha le corps du Christ de la croix, cela ne peut-être que Joseph d'Arimathie
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L’ermite rédigea une description de cette vision dans son «Estoire del Saint-Graal», reprise par Hélinand dans sa chronique latine, où il mentionne le nom de «Gradalis». Ce mot désigne, en latin médiéval, un "plat creux" (comment est-il possible d'être "plat" et "creux" en même temps?, voilà ce que nous n'essayerons pas d'élucider ici) assez large, destiné au service des riches mets sur les tables somptueuses de l’empire franc. La vaisselle et les ustensiles de table étaient communément appelés «Graal». Au départ, donc, un concept plutôt banal.
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Le nom de l’ermite breton, lui, nous tout de même connu, c'est Waleran. Au cours de sa vision, Waleran aurait vu Jésus sur la croix, mais aussi un «plat», donc un «graal» en langue vernaculaire.
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L’ermite breton Waleran affirmait que le sang de Jésus avait été recueilli dans un "plat creux".  Ainsi, selon ses dires, le calice de la communion était comparable à un Graal.
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Le moine qui transcrivit le récit de Waleran, un certain Hélinand de Froidmont, expliquait n’avoir trouvé qu’une seule copie du texte relatant la vision de l’ermite. Rédigé en français, ce texte était, par ailleurs, inachevé. En outre, son propriétaire n'aurait pas voulu directement le montrer à Hélinand, ce qui ne permit donc pas à celui-ci de le dater.  (…)
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Le texte de l’ermite faisait aussi allusion à Nicomède, celui qui eut une conversation avec Jésus, la nuit suivant sa crucifixion, comme l’écrivit plus tard Robert de Boron dans son propre récit, «Le roman de l’estoire dou Graal», ou Joseph d’Arimathie.
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L’ermite Waleran serait donc, dans l’histoire connue, le premier à avoir parlé du Graal.

Une autre source ancienne relative au Graal ce sont les echtrae irlandaises. 

dimanche 20 mars 2016

Qu'est ce qui sépare, aujourd'hui, tant d'êtres humains de l'éternelle Lumière?

 

 

Mais qu’est-ce donc qui, aujourd’hui,

 sur cette pauvre Terre, 

sépare autant d’êtres humains

 de l’éternelle Lumière?




A



ujourd’hui, je regarde autour de moi et je médite.

Je sais qu’au-dessus de moi, de nous, il y a la Clarté, le Ciel, la Lumière.

Et autour de moi il y a les êtres humains de cette planète, sur laquelle je me trouve aussi.

Et en moi il y a ma conscience, en laquelle le Combat fait rage. C’est le Combat pour survivre, pour ne pas mourir englouti dans le sinistre marécage, avec la plupart des autres…

Mais de quoi parle-t-il donc, celui-là?, se demandera plus d’un.

Je parle de ce que je sais; écoute bien, Toi qui veux aussi survivre!

Mon langage n’est nullement métaphorique, tout ce que je dis est tout à fait réel.

À présent, Tu es protégé par Ton corps gros-matériel, mais, après Ta mort, as-Tu déjà réfléchi à l’endroit où Tu iras?

Crois-Tu automatiquement atterrir au milieu d’un parterre de fleurs? Peut-être… C’est vrai pour quelques-uns, mais la masse, elle, ira non au milieu d’un magnifique Jardin fleuri et ensoleillé, mais elle ira dans un sinistre bourbier, où elle achèvera, sans même avoir le désir ni la force de lutter pour survivre, de s’enliser pour toujours

La plupart croient - ou espèrent, peut-être - que la vie s’arrête à la mort du corps gros-matériel et qu’ils n’ont donc aucun Jugement à redouter, aucun compte à rendre pour leurs actes, y compris pour les plus laids.

À notre époque annonciatrice de grands bouleversements ce n’est pourtant pas à de tels insensés qu’il convient de s’adresser; comme dans la Parabole de Lazare et du mauvais riche, l’expérience vécue seule sera leur {seule} enseignante.

D’ailleurs, pour ceux-là, il avait déjà été dit:

«Ils ont Moïse et les Prophètes; qu'ils les écoutent!» (Luc XVI, 29).

Et s’il ne veulent pas les écouter, auront-ils autre chose ou quelqu’un d’autre?

Non, car:

«S'ils n'écoutent pas Moïse et les Prophètes, ils ne se laisseront pas non plus convaincre, quand bien même quelqu'un ressusciterait des morts {pour leur parler}»  (Luc, XVI, 31).


Où est Jean?

Mais, diront-ils, avant que Jésus n’arrive, le Ciel a envoyé sur Terre un Prédicateur de Pénitence pour annoncer l’arrivée du Fils de Dieu sur Terre. Où est donc Jean pour annoncer ce qui doit arriver maintenant?

À quelle époque vivons-nous?

À partir de quand le Royaume de Dieu a-t-il donc commencé d’être annoncé?

À partir de Jésus? Non, un peu plus tôt, car Jésus le dit Lui-même:

«La Loi et les Prophètes ont subsisté jusqu'à Jean; depuis lors, le Royaume de Dieu est annoncé, et chacun use de violence pour y entrer» (Luc XVI, 20).

Eh oui, c’est comme dans la chanson «On ira tous au Paradis»… On "aimerait bien", ce serait plus «démocratique», oui, mais, voilà, la «démocratie céleste» vous connaissez ça? Moi, je n’en ai jamais entendu parler, pas plus, du reste, que de la «république paradisiaque», d’ailleurs. Il paraîtrait que, Là-Haut, l'on préfère la «Monarchie», la Royauté Divine… Ça va être dur pour tous ceux qui veulent absolument voter et mettre aux voix l’entrée au Paradis… Car, il se pourrait fort, en définitive, que cela ne soit pas leur opinion qui compte, mais uniquement le Verdict du Juge céleste, sur Son Trône…


Selon ce que dit Jésus, c’est donc Jean qui, le premier, a annoncé le Royaume de Dieu.


Autre indication:


Matthieu raconte:

«En ce temps-là parut Jean le Baptiste, prêchant dans le désert de Judée. Il disait: «Repentez-vous, car le Royaume des Cieux est proche.»»

«En ce temps-là», c’est juste avant le début de la Prédication de Jésus, en l’an 15 du règne de Tibère. Il est donc déjà là précisé que Jean, prêchant le repentir, est le premier à avoir annoncé le Royaume des Cieux. Cette expression n’apparaît, du reste, jamais dans l’Ancien Testament, alors qu’elle apparaît une bonne trentaine de fois dans le Nouveau.

Quant à l’expression synonyme «Royaume de Dieu», c’est encore plus flagrant: Si elle n’apparaît jamais, non plus, dans l’Ancien Testament, elle apparaît plus d’une soixantaine de fois dans le Nouveau

Jean était-il Lui-même annoncé?

Par Matthieu encore, nous apprenons que oui:

«Jean est celui qui avait été annoncé par Ésaïe, le Prophète, lorsqu'il dit: "C'est ici la Voix de celui qui crie dans le désert: Préparez le Chemin du Seigneur, Aplanissez Ses sentiers"».

Ésaïe, qui semble ici encore décrire la Mission de Jean:

«Crie à plein gosier, ne Te retiens pas, Élève Ta voix comme une trompette, Et annonce à Mon Peuple ses iniquités, à la Maison de Jacob ses péchés!» (Ésaïe, 58,1.)

Que pouvons-nous encore savoir sur Jean? À dire vrai, un personnage plutôt pittoresque:

«Jean avait un vêtement en poils de chameau, et une ceinture de cuir autour des reins. Il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage».

À quoi passait-il son temps?

«Les habitants de Jérusalem, de toute la Judée et de tout le pays des environs du Jourdain, se rendaient auprès de lui; et, confessant leurs péchés, ils se faisaient baptiser par lui dans le fleuve du Jourdain.»

Jean devient donc Jean le Baptiste, en langue allemande «Johannes der Täufer», dont le Nom, selon les Lois des Nombres, vibrent, comme indiqué dans l’Apocalypse de … Jean («le Nombre d’un Homme»), dans le Nombre 666

Une traduction plus littérale de l’hébreu fait appeler Jean «L’Immergeur»; c’est - expliquent les hébraïsants - la signification littérale du mot «Baptiste»…

Les candidats au Baptême ne sont, pourtant, et de loin, pas tous agréés par lui:

«Mais, voyant venir à son Baptême beaucoup de pharisiens et de sadducéens, il leur dit: "Races de vipères, qui vous a appris à fuir la Colère à venir? Produisez donc du fruit digne de la repentance, et ne prétendez pas dire en vous-mêmes: Nous avons Abraham pour Père! Car je vous déclare que de ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. Déjà la cognée est mise à la racine des arbres: tout arbre donc qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu"».

Jean, le Prédicateur de Pénitence, annonce Jésus, Qui lui emboîte le pas:

«Moi, je vous baptise d'Eau, pour vous amener à la repentance; mais Celui Qui Vient après moi est bien plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, Il vous baptisera du Saint Esprit et du Feu».

De Lui il prophétise:

«Il a son van à la main; il nettoiera son aire, et il amassera son blé dans le grenier, mais il brûlera la paille dans un Feu qui ne s'éteint point».

Au sujet de Jean Jésus a dit:

«Car tous les Prophètes et la Loi ont prophétisé jusqu'à Jean».
Cela s’est donc arrêté à Jean. Après, plus de Prophètes! [1] Et l’ancienne Loi de la Justice, considérée en tant qu’elle seule, marque, là aussi, une pause dès lors où s’ajoute à elle celle de l’Amour apporté{e} par Jésus.

Jean, c’est «quelqu’un», car Jésus dit aussi de lui:

«et, si vous voulez le comprendre, c'est lui qui est l'Élie qui devait venir».

L’Élie, annoncé par le Prophète Malachie, tout à la fin de l’Ancien Testament, en ces termes:

«Voici, je vous enverrai Élie, le Prophète, avant que le Jour de l'Éternel arrive, ce Jour grand et redoutable. Il ramènera le cœur des pères à leurs enfants, Et le cœur des enfants à leurs pères, de peur que je ne vienne frapper le pays d'interdit»,

ce n’est pas Élie en tant que tel, mais quelqu’un qui a, pour le moins, la «carrure » du Prophète Élie, alors particulièrement vénéré par le Peuple juif.


L’on peut donc dire que Jean est, avant Jésus, le dernier Prophète.


De lui, en effet, son père, le prêtre Zacharie, rempli de la Force du Saint Esprit, avait lui-même prophétisé:

«Et Toi, petit enfant, Tu seras appelé Prophète du Plus-Haut; car Tu marcheras devant la Face du Seigneur, pour préparer Ses Voies»  (Luc, I,76).

Jésus confirme encore l’exceptionnelle grandeur de Jean:

«Comme ils s'en allaient, Jésus se mit à dire à la foule, au sujet de Jean: "Qu'êtes-vous allés voir au désert? Un roseau agité par le vent? Mais, qu'êtes-vous donc allés voir? Un homme vêtu d'habits précieux? Voici, ceux qui portent des habits précieux sont dans les maisons des rois. Qu'êtes-vous donc allés voir? Un Prophète? Oui, vous dis-je, et plus qu'un Prophète".
Car c'est celui dont il est écrit: «Voici, J'envoie Mon Messager devant Ta Face, pour préparer Ton Chemin devant Toi»».

Jésus Se réfère, ici, encore une fois, au Prophète Malachie, lequel, parlant au Nom de Dieu, a prophétisé:

«Voici, J'enverrai Mon Messager; Il préparera le Chemin devant Moi. Et, soudain, entrera dans Son Temple le Seigneur que vous cherchez; et le Messager de l'Alliance que vous désirez, voici, Il vient, dit l'Éternel des Armées».

Et Jésus poursuit:

« Je vous le dis, en Vérité, parmi ceux qui sont nés de femmes, il n'en a point paru de plus grand que Jean Baptiste. Cependant, le plus petit dans le Royaume des Cieux est plus grand que lui».

Le plus grand de tous les Terriens, qui, à côté de lui, ne sont … rien! (Terrien = T’es rien!)

Mais Jean est «en bas» dans le véritable Royaume des Cieux qu’est la Création Originelle pur{ement}-spirituelle, et c’est pourquoi le plus petit de cette Création- est encore plus grand que lui…


L’on comprend aussi pourquoi les Juifs attendaient le retour d’Élie et étaient vivement intéressés de savoir si c’était lui qui se manifestait en Jean le Baptiste.


Surtout avec la Prophétie faite par Malachie, car le retour d’Élie annonce aussi le «Jour de l’Éternel, grand et redoutable».


Mais, avant ce Jour du «Dies Irae», Jour de la Colère de Dieu évoqué dans tous les «Requiem», il y a l’époque, annoncée dans l’Apocalypse de Jean, où Dieu Se voile la Face.


Il est donc arrivé le Temps où la Terre, pour un temps, est abandonnée à la domination des ténèbres, sans Secours direct de la Lumière, et cette époque c’est … maintenant!!!


Si cela est arrivé, c’est tout simplement parce que l'humanité dans son ensemble, par son vouloir, l'a voulu ainsi. Les conséquences de son vouloir, en ce qui concerne la majorité de ceux qui composent cette humanité, devaient, en effet, apporter cette dramatique fin. La voilà, la «majorité démocratique» et voilà ce qu’elle a apporté!


C'est l'Époque que, après l’assassinat de Jésus, le dernier Prophète, Jean – à moins que ce soit l’avant-dernier, car Jésus, juste après lui, peut Lui-même être considéré comme le dernier et le plus grand des Prophètes! -, fut, par avance, dans son Apocalypse, dite Apocalypse de Jean, autorisé à contempler, l'Époque où Dieu Se voile la Face.


Qui est donc l’auteur spirituel de l’Apocalypse de Jean? Jean l’Apôtre – dit aussi l’Évangéliste (bien que, selon certaines sources, il pourrait aussi s'agir de deux personnages distincts, de sorte qu'en réalité il y aurait trois "Jean") – ou Jean le Baptiste?


La tradition penche, en général, pour Jean l’Évangéliste. Pourtant, il s’agit bien de Jean le Baptiste. Car cette Révélation n’eut pas lieu sur l’île de Patmos dans la Mer Égée sur Terre, mais sur Patmos située dans les hauts Plans Spirituels…


Jean incita les êtres humains, vis-à-vis de leur faux comportement, à se repentir et à se raviser. Et il annonça le Royaume des Cieux et Jésus, Qui devait l’apporter.


Si les êtres humains avaient commencé à mettre immédiatement en pratique l’Enseignement apporté par Jésus, dont le Chemin avait été aplani par le Baptiste (dont la Mission ne dura, pourtant, guère qu’une année…), alors le Royaume de Dieu sur Terre aurait pu concrètement commencé dès cette époque


Pour que tous les êtres humains de la Terre – c’est-à-dire les germes d’esprits humains en cours d’évolution incarnés dans des réceptacles charnels – aient le temps d’être informés du Message de Jésus, de le recevoir et de l’intérioriser, l’Omnisagesse Divine a prévu … deux Jours, c’est-à-dire deux Jours d’esprit, soit deux mille ans, puisque «Mille ans sont à Tes Yeux comme le Jour d'hier, quand il n'est plus, et comme une veille de la nuit.»… (Psaume 90, Verset 4.)


Pourquoi deux mille ans? La réponse est peut-être ici:

«Et quand celui-ci vivrait deux fois mille ans, sans jouir du Bonheur, tout ne va-t-il pas dans un même lieu?» (L’Ecclésiaste, chapitre VI, verset 6)

«Celui-ci», c’est celui dont il est dit:

«Quand un homme aurait cent fils, vivrait un grand nombre d'années, et que les jours de ses années se multiplieraient, si son âme ne s'est point rassasiée de Bonheur, et si de plus il n'a point de sépulture, je dis qu'un avorton est plus heureux que lui. »


Toujours est-il que le «Délai de "Ravisement"», donc le Délai pour se raviser et changer de comportement, offert aux êtres humains, après la venue du Prédicateur de Pénitence et celle de Jésus, est de 2000 années terrestres. Pas plus.


Celui qui ne met pas à profit le Délai refuse  le Secours de Dieu et Sa Main tendue au cours de l’Envoi de Son Fils sur la Terre et scelle ainsi son destin: il restera dans son marécage, dans son infâme bourbier, là où il se complait. Or, le Délai maximum est sur le point d’expirer; il ne se compte plus, au grand maximum, qu’en une ou deux décennies


Que signifie alors cette expression: «Dieu Se voile la Face»? Elle signifie que, alors, peu avant la fin du «Délai de "Ravisement"», tout va mal. Dieu, momentanément, Se détourne de l’humanité de la Terre et laisse les êtres humains récolter l’intégralité de leurs semences.


«Dieu pour punir le mal n’a qu’à le laisser faire…», dit le proverbe.


Cela veut dire que, pendant ce temps-là, l’humanité est privée de tout Secours en provenance de la Lumière, de la Source de Vie…


À ce «régime»-là, au bout d’un moment, tout menace de sombrer, même le bon, même le meilleur… Et c’est lorsque la détresse est la plus grande que le Secours de Dieu est le plus proche.


Et Jean n’est plus sur Terre et ne reviendra plus pour l’annoncer! Ceux qui attendent son retour pour se changer s’illusionnent grandement! Et celle illusion, s’ils ne la démasquent pas à temps, leur sera fatale.


Car Jean a annoncé Jésus, mais c’est Jésus Qui, il y a deux mille ans, annoncé le Fils de l’Homme, que plus personne, pas même Jean, ne pouvait annoncer après Lui…


Le Délai de Ravisement est proche de son terme. Nous sommes à la toute dernière Heure… Bientôt, Dieu Se voilera complètement la Face et il fera nuit



R é v e i l l o n s - n o u s !!! 
 


[1] En ce sens, Mohammed - ou Mahomet – n’est pas réellement un Prophète.